Ces scénarios paranoïdes
Où l’on cache
L’on fuit
Où l’autre m’utilise et me nuit
L’envers de la foi encore
Car la foi parfaite sait
Que la déesse cruelle
M’arrachera la tête
Me dépècera de tout son cœur
En nourrissant toujours et encore
Cette âme
Cette joie d’être sans contraire
Et comme le dit mon grand frère Satprem
Il n’y aura alors
« Aucune peur de retourner en enfer
Dans le brisoir
De l’engeance humaine »
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