J'habite des contrées éloignées
Au cœur de ton coeur
Je suis la fleur bien allumée
La lueur d'éternité
Que les vents mauvais
De la peine et de la mort
Ne peuvent consumer
Je suis ta foi
Dans la pire obscurité
La lumière de ta sincérité
Je suis l'inconnue
Oubliée négligée
Le souffle inspiré qui se perd
Dans tes océans déchaînés
Jusqu'à ce qu'une présence subtile
De sa douce ouate translucide
T'enveloppe
Dans sa blancheur opaline
C'est
Ma Mère divine
Mon ange éternel
Qui veille
En continuité
Ses enfant ballotés
Dans le chaos
De leurs humanités
Poème commencé le 14 juin 2023
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