L'hémicycle de masses d'ombre
Parsemé de foyers lumineux
S'élève droit au ciel
Une bouffée de grand sommeil
S'étire et abolit un peu d'impression charnelle
qui vibrait dans la vision
Le paysage ne s'occulte pas
La couronne sonore des criquets et grillons persiste
Rappelant l'incorporel qui embrasse l'horizon
Dans l'ombre deux cônes de lumière parallèles avancent
Traçant une route qui derrière eux s'efface
Ces mots s'emboîtent s'ajustent ou se raient
Ils émergent doucement
Sans négliger où s'accueille
Le beau visage de la nuit
Parsemé de foyers lumineux
S'élève droit au ciel
Une bouffée de grand sommeil
S'étire et abolit un peu d'impression charnelle
qui vibrait dans la vision
Le paysage ne s'occulte pas
La couronne sonore des criquets et grillons persiste
Rappelant l'incorporel qui embrasse l'horizon
Dans l'ombre deux cônes de lumière parallèles avancent
Traçant une route qui derrière eux s'efface
Ces mots s'emboîtent s'ajustent ou se raient
Ils émergent doucement
Sans négliger où s'accueille
Le beau visage de la nuit
Et l'âme son miroir.
RépondreSupprimerSur le pont d'Avignon. Le coup frappa l'enfant à la machoire. Il resta debout. Sourirant. Le tireur: rien. Le fusil: aucun. Et il y avait cette aube et ce soir pleins des expectations les plus brillantes.
S'il vous plait...
Poétudes
- Peter Ingestad, Sverige